
Affichage des articles dont le libellé est Bande Sonore. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Bande Sonore. Afficher tous les articles
vendredi 2 avril 2010
(Bande Originale) Alexandro Jodorowsky - El Topo (LP 1970)
AAC@320
Musique de Alexandro Jodorowsky et Nacho Méndez
01. Entierro Del Primer Juguete
02. Bajo Tierra
03. La Cathedral De Los Puercos
04. Los Mendigos Sangrados
05. La Muerte Es Un Nacimiento
06. Curios Mexicano
07. El Agua Viva
08. Vals Fantasma
09. El Alma en la Sangre
10. Topo Triste
11. Los Dioses De Azucar
12. Las Flores Nacen En El Barro
13. El Infierno De Los Angeles Prostitutos
14. Marcha De Los Ojos En El Triangulos
15. La Miel Del Dolor
16. 300 Conejos
17. Conocimiento A Traves De La Musica
18. La Primera Flor Despues Del Diluvio
ici
dimanche 21 mars 2010
B.O. Touch of Evil - Henry Mancini (LP 1958)
Touch of Evil - Orson Welles (1958)
Une bombe explose et fait deux victimes à Los Robles, petite ville
à la frontière des Etats-Unis et du Mexique. Deux policiers, Charlton
Heston et Orson Welles, s'affrontent sur leur conception de la justice.
Réalisé par Orson Welles à la demande de Charlton Heston, un
festival de contre-plongées, de cadrages insolites et une ouverture
d'anthologie : un sublime plan-séquence de plus de trois minutes.
01. Main Title
02. Borderline Montuna
03. Strollin' Blues
04. Orson Around
05. Reflection
06. Tana's Theme
07. Flashing Nuisance
08. The Boss
09. Something for Susan
10. Rock Me to Sleep
11. The Big Drag
12. Ku Ku
13. Son of Raunchy
14. Lease Breaker
15. Background for Murder
16. Barroom Rock
17. Pigeon Caged
18. Blue Pianola
19. The Chase
Part 1 Part 2
jeudi 18 mars 2010
Les Tontons Flingueurs / Émission du 17-03-2010
Avec:
Harold Sasahara & Club Nisei Orchestra / T. Arima's Cuban Noche / Club Nisei, Hitoshi Ueki
The Peanuts / The All-Star Orchestra / Aiko Yohen / Shoukichi Kina & Champloose / Yara
Family / Mike Rebedios / Miki Obata & The Out Cast / The Tigers / The Carnabeats / The
Savage / Burns / The Spiders / The Youngers / Outkast / The Jaguars / Masami Kawahara &
The Exotic Sounds / Tani Naomi / Reiko Ike / Meiko Kaji / People / Ja Seazer / Happy End
Jacks / Haruomi Hosono / P-Model / Yello Magic Orchestra / The Plastics / Hikashu / Halmens
Kiyohiko Senba & His Haniwa All Stars / Luna Park Ensemble / After Dinner / Hajime Tachibana
clic droit pour ouvrir ou enregistrer

Libellés :
50s,
60s,
70s,
80s,
Archives Émissions,
Asie,
Avantgarde,
Bande Sonore,
Érotisme,
Ethno Rock,
Film,
Hawaii,
Japon,
JPop,
Latin,
Lounge,
New Wave,
Rock in Opposition
vendredi 12 mars 2010
Les Tontons Flingueurs / Émission du 10-03-2010
Avec:
Luce Guilbeault / Robert Charlebois / Robert Crumb & the Cheap Suit Serenaders / Any Old
Time String Band / Barney Bigard Sextet / Julia Lee / Harlem Hamfats / Bea Foote / Marie Dubas
Nitta-Jo / G. Bordin & A. Viau / Marcel's / Trio Garnica-Ascencio / Juan Gaytan & Frank Cantu
Los Montenos / Roscoe Holcomb / Les VRP / Serge Gainsbourg / Etron Fou Leloublan / Slapp
Happy / Hal Collomb / Java / Jean Yanne / Nico (Christa Paffgen) / Louis Massis / Raymond
Scott / Stock, Hausen & Walkman / Steve Reich / Rock Critics / The Flying Lizards / Les Tueurs
de la Lune de Miel / Ennio Morricone / Brian Woodbury / Arthea / Stomp / ZGA / Georges
Garvarentz / Kuno & The Marihuana Brass / The Bob Crewe Generation Orchestra
clic droit pour ouvrir ou enregistrer

Libellés :
30s,
40s,
50s,
60s,
70s,
78t,
80s,
90s,
Allemagne,
Angleterre,
Archives Émissions,
Avantgarde,
Bande Sonore,
Blues,
Chanson,
Document historique,
Film,
France,
Québec
vendredi 5 mars 2010
Arthur Lipsett
ARTHUR LIPSETT était un visionnaire, un satiriste à l’esprit créatif qui a su manipuler les
éléments du cinéma pour bâtir une œuvre cohérente et inoubliable. Poète de la pellicule, il
a réalisé sa vision en mariant de façon originale des chutes de films inutilisées par d’autres
cinéastes de l’ONF et des séquences qu’il avait lui-même tournées. Avec ses assemblages
de sons et d’images provenant de sources diverses, Lipsett a réussi à fabriquer quelque
chose d’artistique et d’inédit, obligeant le spectateur à appréhender le cinéma de manière
tout à fait nouvelle, à le vivre non seulement comme un divertissement mais aussi comme
une remise en question du monde.
Si les films d’Arthur Lipsett exigent beaucoup de l’auditoire, il faut reconnaître que le
cinéaste était tout aussi exigeant envers lui-même. Brillant monteur, il accumulait du
matériel visuel et sonore à partir du vaste éventail de sources que lui offrait l’ONF, ou
encore ses balades dans les rues de Montréal et de New York. À la fois artiste du
collage et as du montage cinématographique, il se servait de bandes magnétiques, de
disques, de photos et de séquences filmées pour créer ses œuvres étonnantes. Les
films expérimentaux réalisés par Lipsett s’inscrivent dans le courant moderniste de
cette époque où le pop art, l’assemblage et le mouvement Fluxus faisaient leur marque
dans la culture occidentale.
Dès son premier film, Very Nice, Very Nice, Arthur Lipsett donne clairement le ton de
son œuvre à suivre : une exploration artistique de la vie telle qu’elle était vécue en cette
décennie stimulante des années 1960. Tandis qu’à Londres, militants et artistes
manifestaient passionnément pour la suppression de la bombe atomique, aux États-Unis,
la scène socio-politique était dominée par la question des droits civils et, à l’échelle
mondiale, la fin du colonialisme en Asie et en Afrique remettait en question l’hégémonie
occidentale. Lipsett était sensible aux fluctuations du paysage politique et il a exprimé sa
créativité dans le creuset de cette culture émergente de la contestation qu’incarnaient les
beatniks, le jazz, les happenings et certains humoristes revendicateurs et osés.
À sa sortie en 1961, Very Nice, Very Nice fut adopté d’emblée par cette nouvelle
génération d’universitaires et d’artistes branchés. Le court métrage, mordant, jazzé,
provocateur et teinté d’humour noir, s’annonce comme tel dès les plans d’ouverture
montrant des tours à bureaux pendant qu’une voix hors champ récite en anglais : « Dans
cette ville marche une armée dont la devise est — bwah! bwah! bwah! » Ces trois coups
de klaxon dissipent toute prétention documentaire du film. Suivent les images de deux
affiches, « Non » et « Achetez ». Lipsett s’est amusé à piéger son auditoire, à le réveiller
de sa torpeur pour le mettre au défi de s’engager et de réagir à son film. Airs de fanfare,
battements de tambour, vieilles mélodies de piano et musique de jazz viennent ponctuer
la piste sonore, faite d’un collage d’enregistrements audio. Sur l’écran défile en
contrepoint une succession d’images allant de photographies d’individus prises au hasard
à des portraits de personnages historiques, en passant par des scènes de foules, de
lancements de fusées et d’explosions de bombes à hydrogène.
Le cinéaste met le spectateur au défi de donner un sens à tout ça, et Lipsett l’artiste sert
lui-même de guide. La voix hors champ nous informe qu’il s’agit d’une fantasmagorie en
dissolution d’un monde », mais que « la chaleur et la lumière reviendront, et les espoirs
des hommes renaîtront. » La première fois que nous entendons cette déclaration
optimiste, elle s’accompagne du son « non » suivi d’un rire; la deuxième fois, en
conclusion de l’œuvre, nous entendons un commentaire ambigu : « Bravo! Très bien,
très bien (Very Nice, Very Nice) ». La foule solitaire, aliénée et confuse, est de toute
évidence le sujet du film. Ces êtres sont-ils capables d’entrer en contact avec le monde
qu’ils habitent? L’auteur n’en est pas sûr, mais le titre de travail qu’il avait donné au
collage sonore de départ, « étrangement rempli d’allégresse », semble indiquer qu’il
trouvait encore une certaine joie, un certain esprit chez les gens et au sein de la société.
Very Nice, Very Nice (1961)
Son film suivant, 21-87, est le chef-d’œuvre de Lipsett. Le cinéaste y explore la nature
spirituelle de l’humanité. Le montage d’ouverture donne le ton : la radiographie d’un
crâne humain cède l’écran à un trapéziste, puis à un cadavre en dissection. La bande
audio va du son de la perceuse et de la scie employées pour démembrer les cadavres
aux accords gospel de "Every Child of God". Bien que le film comporte des scènes de
foule, Lipsett met en évidence des individus tout au long du film — des balayeurs de rue,
des clients sur l’escalier roulant d’un grand magasin, des danseurs. Une voix déclare :
« Ils prennent conscience d’une force derrière ce masque apparent devant nous. Ils
l’appellent Dieu. » Sans jamais permettre à une pensée de dominer les autres, Lipsett
oppose à cette phrase la déclaration ironique suivante : « Puis les gens disent :
“Votre numéro est le 21-87, n’est-ce pas?” Oh! Comme cette personne sourit! »
Dans 21-87, Lipsett met en scène cette opposition essentielle: sommes-nous des êtres
physiques ou spirituels? Son emploi du terme « la force » a inspiré la cosmologie
inventée par George Lucas pour Star Wars; Lucas se sert aussi des nombres 21-87
dans plusieurs de ses œuvres. Le contraste entre le corps et l’esprit est par ailleurs
souligné durant tout le film de Lipsett. Bien que le collage sonore fasse référence à
Dieu, les personnages du film semblent plutôt égocentriques. Sont- ils des numéros,
comme le suggérait la série-culte de Patrick McGoohan, Le prisonnier, dans les
années 1960? Ou bien sont-ils des hommes libres? Lipsett ne répond jamais à
cette question.
21-87 (1964)
La carrière d’Arthur Lipsett fut malheureusement très brève. Après ces deux brillants films,
il réalisa Free Fall — un regard plus pessimiste sur le monde
Free Fall (1964)
puis la charmante « capsule temporelle » A Trip Down Memory Lane
A Trip Down Memory Lane (1965)
ensuite une œuvre plus répétitive, Fluxes, et enfin un film angoissant, intensément personnel,
N-Zone. Ses films sont de remarquables créations d’avant-garde, des concentrés
extraordinaires de l’esprit de controverse et de contestation des années 1960. Tout au long
de son œuvre, une image en particulier prédomine: celle du trapéziste. On peut présumer
que Lipsett se voyait lui- même comme une sorte d’acrobate de haute voltige évoluant entre
le son et l’image pour réaliser ses œuvres à la fois artistiques et philosophiques. À la fin, le
jeune homme audacieux est tombé de son trapèze, mais non sans nous avoir d’abord légué
des films qui passent l’épreuve du temps.
Source: ONF/NFB
lundi 7 septembre 2009
Bande Originale du Film: L'Initiation (1970)
Remasteurisé d'un vinyl 'scrap' avec amour et volupté.
01. Diane Dufresne - Un jour il viendra mon amour 1
02. Marcel Lefebvre & François Cousineau - Pauvre Amour (inst. 2)
03. Nicole et Bernard Scott - Un bateau
04. François Cousineau - Non ne me dis pas non
05. Marcel Lefebvre & François Cousineau - La ville 'Underground'
06. François Cousineau - Un jour il viendra mon amour (inst. 1)
07. Patsy Galant - Maman ne m'a pas dit
08. François Cousineau - Un jour il viendra mon amour (inst. 2)
09. Diane Dufresne - Pauvre amour
10. François Cousineau - Thème Gilles
11. Patsy Galant - Psychedelic Party
12. François Cousineau - Pauvre amour (inst. 1)
13. Diane Dufresne - Un jour il viendra mon amour 2
Inscription à :
Articles (Atom)
